Offrez-vous une mini-usine dépolluante dans chaque pièce du foyer !
- Dans la cuisine : l’azalée est une dévoreuse d’ammoniaque, présent dans la composition de nombreux détergents (pour les sols, les vitres, etc.). Le chlorophytum (dite plante araignée) et sa touffe de longues feuilles souples est une dépollueuse des plus actives : elle élimine les COV (composés organiques volatils), comme le monoxyde de carbone, le formaldéhyde, etc. Elle rend l’air plus respirable et moins allergène.
- Dans la chambre de bébé fraîchement repeinte : le chrysanthème absorbe le trichloréthylène (peintures, solvants, etc.). Le philodendron se régale du PCP (traitement du bois) et a le bon goût de dégager beaucoup de vapeur d’eau, faisant office d’humidificateur naturel.
- Dans le salon : le cactus serait un désintégrateur d’ondes électromagnétiques (télévision, ordinateurs, etc.).
- Dans votre chambre : le ficus benjamina s’attaque et neutralise le formol (mousses d’isolation, colle pour moquette, tissus d’ameublement, papiers d’emballages, vêtements sortant du pressing, etc.).
- Dans la salle de bains : le lierre est un spécialiste de l’élimination du benzène (peintures, détergents, matières plastiques, etc.).
Extrait du PETIT GUIDE DE LA GROSSESSE SANS RISQUE de Catherine Dupin et Alix Leduc.
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