Supplices chinois
Un touriste européen, perdu dans une forêt chinoise, trouve la trace d’une maison où il est accueilli par un vieil homme.- Je suis perdu, pouvez-vous m’héberger pour la nuit ? demande le touriste au vieux Chinois.
- Bien sûr, mais à une condition : si vous touchez ne serait-ce qu’à un cheveu de ma fille, je vous infligerai les trois pires supplices chinois connus.
- C’est d’accord, répond le touriste européen, pensant que de toute façon la fille doit être bien moche et vieille.
En fait, au dîner, il s’aperçoit que la Chinoise est jeune, absolument superbe et que, en plus, elle n’arrête pas de lui faire de l’oeil. Mais, se souvenant du terrible avertissement du vieillard, il préfère s’abstenir de quoi que ce soit.
Cependant, au milieu de la nuit, il n’en peut plus. Il sort de sa chambre et rejoint la jeune fille pour une nuit de folie. Puis, il retourne se coucher en faisant attention à ne pas faire de bruit.Le lendemain, il se réveille en sentant une pression sur sa poitrine. Ouvrant les yeux, il voit un énorme bloc de pierre posé sur son torse avec une note, disant :
« Premier supplice chinois. Grosse pierre posée sur poitrine. »L’homme, amusé, se dit que si c’est ce que le vieux a pu trouver de mieux, ce n’est vraiment pas terrible comme supplice. Il prend le bloc, marche jusqu’à la fenêtre et le balance par-dessus bord.
À ce moment, il aperçoit une autre note sur la fenêtre, disant :
« Deuxième supplice chinois. Grosse pierre liée à testicule gauche. »Pris de panique, il voit le fil liant son testicule gauche à la pierre qui commence à se tendre. Décidant que quelques os cassés valent mieux que la castration, il saute par la fenêtre.
Alors, en tombant vers le sol, il voit une pancarte posée par terre, où il y a écrit :
« Troisième supplice chinois. Testicule droit lié au pied du lit. »
Extrait du livre FOUS RIRES 2011, de François Jouffa et Frédéric Pouhier
Parution le 12 octobre
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